Nekomonogatari Black

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Aujourd’hui on parle de Nekomonogatari !

La petite histoire :

Il s’agit de l’adaptation du Light Novel Nekomonogatari - Kuro - de NisiOisiN sorti le 28 Juillet 2010 au Japon. Il est suivi par Nekomonogatari - Shiro - qui n’a pas été adapté.

Cet anime, aussi appelé Nekomonogatari Black est sorti en 2012 pour 4 épisodes chez Wakanim.

Il sort après Bakemonogatari et Nisemonogatari, mais couvre la période historique les précédant.

Personnage :

Les personnages principaux sont Araragi, Hanekawa, Oshino et Shinobu.

Scénario :

Araragi est parvenu à redevenir plus ou moins humain et plus ou moins un adolescent comme les autres. Perturbé, celui-ci réfléchit à l’amour et l’attachement profond qu’il porte à une certaine “mademoiselle H”. Après mûre et profonde discussion, il en conclut être parasité par un besoin sexuel et décide de sortir acheter de quoi y voir plus claire. En chemin, il croise Hanekawa alors que celle-ci s’apprête à enterrer la dépouille d’un chat blanc. Mais alors que la golden week bat son plein, la demoiselle est possédée par un esprit félin qui met de l’ordre dans sa vie de façon assez violente… Araragi et Oshino parviendront-ils à sauver Hanekawa ?

J’aurais toujours une tendresse toute particulière pour cette œuvre. A mi-chemin entre le grotesque, les questions existentielles et la philosophie profonde, on aborde ici le thème de l’amour sous ses différentes formes et de la place que l’on peut avoir. Shinbo Akiyuki, le réalisateur, nous met une fois de plus dans une situation où le doute et la compréhension se mêlent sur un chemin vers la rédemption d’une faute dont on ignore encore tout. Le chat aura-t-il raison du vampire ? Un chef d'œuvre encore une fois.

Graphisme :

Nous sommes sensiblement sûr le même design que Nisemonogatari. La qualité globale est excellente quoique toujours très abstraite. Les combats, tout comme les scènes légèrement ecchi, sont d’une qualité remarquable. On notera une présence des infographies encore moins présente que dans le titre précédemment cité.

Toujours la vibe Bakemonogatari, les OST sont cette fois-ci en rupture avec Nisemono, puisque beaucoup plus orienté sur des sons froids et classiques. L’opening Perfect Slumbers est magnifique aussi bien d’un point de vue animation que musicalement, puisqu’il est chanté par la sublime Yui Horie.

Point noir :

Le titre n’est une fois de plus pas particulièrement accessible. Et c’est d’autant moins le cas avec les scènes de ecchi ou les combats qui se veulent très crus.

Conclusion :