Kimi no Iru Machi
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Aujourd'hui on s'attaque à un shojo original : Kimi no Iru Machi !
La petite histoire :
C'est à l'origine un manga écrit par Koji Seo entre 2008 et 2014. Notre mangaka est aussi l'auteur de Fûka (récemment adapté en animé) terminé cet année et du manga Suzuku (lui aussi adapté). Bref, notre manga aussi connu sous le nom de A Town Where You Live a 27 tomes qui sont publiés chez Pika.
L'animé est sorti en 2013 et compte 12 épisodes.
Personnage (ma vision de l'époque) :
Le personnage principale s’appelle Haruto Kirishima. Il a passé une grande partie de sa jeunesse à Hiroshima avant de partir s’installer à Tokyo. Mais on en parlera plus tard. Il n'est pas très grand, mais il a quand même un air classe, si on retire son côté râleur et « peur du regard des autres ».
Viens ensuite Eba Yuzuki, fille de Tokyo dont le père est un ami d’enfance du père de Kirishima et qui a donc passé sa première année de lycée à Hiroshima. Elle a un côté "tout le temps hyper joyeuse" qui est vraiment agréable, même si elle a toujours tendance à tout faire pour les autres et pas grand-chose pour elle.
Il faut aussi parler des amis d’Haruto qui sont à Hiroshima, même s’ils n’ont pas une importance capital dans l’histoire. Et de la sœur de héro, Aoi, qu’il l'a rejoint à Tokyo.
Par contre, plus important, on trouve Kazama Kyosuke. Un type pote avec tout le monde et qui respire la joie de vivre. Il adore la moto et il a les cheveux longs, la grande classe ! Il a toujours l’air un peu plus mature que la moyenne.
Il faut aussi parler de Mishima Asuka, une fille toujours en rogne qui fait son entré en essayant de buter le héros à coup de batte de baseball. Elle vient aussi de la campagne et est toujours un peu gêné par son accent. Elle a beau être un peu querelleuse, elle a toujours son côté mignonne qui prend le dessus.
Enfin, il faut parler d’Eba Rin, la demi-sœur d’Eba Yuzuki, qui elle est toujours resté à Tokyo et qu’on peut considérer comme l’allier d’Haruto.
Scénario (ma vision de l'époque) :
Enfin bref ! Je vous parle de Tokyo et d’Hiroshima depuis tout à l’heure, il est temps de vous expliquer le rapport. Et dans l’ordre, contrairement à l’animé.
Alors, Eba Yuzuki débarque du jour au lendemain chez Haruto et s’y installe. Comme ce dernier est amoureux d’une de ces camarades de classes (surtout qu’il n’y a qu’une classe), il est un peu rancunier envers Eba qui risque de créer des malentendus.
Bon, je simplifie beaucoup, mais au final notre héro fini par en tomber amoureux et ils sortent ensemble.
Sauf qu’à la fin de l’année, Eba rentre à Tokyo et le largue sans lui expliquer pourquoi. Du coup, Haruto rapplique à Tokyo pour lui poser la question et essayer de la comprendre. Il rejoint sa sœur et fait la connaissance de tous les autres. Et c’est là que la véritable histoire commence.
L’histoire part un peu dans tout les sens, mais le scénario est globalement bien fait, ce qui est malheureusement un des seuls points fort de l’animé.
Autre point fort, on s’attache à certain personnages et la rupture est vraiment cruelle, mais c’est vraiment une qualité.
Points noirs (ma vision de l'époque) :
Alors, d’abord les graphiques sont en général vraiment moyen et ont le problème des incrustations d’aquarelle toutes les cinq minutes, ce qui brise le flux de l’histoire et est selon mon humbles avis, quelque chose à utiliser avec parcimonie.
Ensuite, le plus gros défaut : le scénario est bon, mais la « mise en page » est horriblement bordélique, ce qui fait qu’on ne sait très vite plus où on se trouve dans le temps et ce qui se passe. Ça gâche vraiment tout le plaisir qu’on pourrait avoir avec cette animée, même si je pense que s’était pour éviter le côté « animé de rupture ». Il n’empêche que cet aspect a vraiment était mal conçu, surtout quand on change de moment en cour d’épisode.
Conclusion :
Bon, pour résumer, c’est un shojo au contenue vraiment intéressant, mais à la couverture assez mauvaise. Il devrait plaire aux fans de shojo, mais les autres s’ennuieront ferme, donc je ne leur conseil pas.
Date de dernière mise à jour : 15/06/2018
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