BeyWheelz

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Aujourd’hui on s’attaque à l’anime Beywheelz.

La petite histoire :

    Beywheelz est un anime spin off à la saga Beyblade sortie en 2012 pour 13 épisodes.

    La suite : BeyWarriors : BeyRaiderz sortira en 2014 pour à nouveau 13 épisodes.

Personnage :

    Sho Tenma est le héros de cette histoire. Leader de la team Estrella, il combat avec son Soaring Wing Pegasus et donne toujours tout ce qu’il a. Il a tendance à foncer tête baisser, mais sait garder la tête froide dans les situations les plus critiques pour retourner la situation.

    Jin Ryu est le meilleur ami de Sho et un des membres de la team Estrella. Combattant surpuissant à l’aide de son Doom Fire Drago, c’est quelqu’un de calme, qui analyse en permanence ce qui l'entoure. En plus d’être un wheeleur d’exception, c’est aussi quelqu’un avec une très grande force physique.

    Leon Fierce est le dernier membre de la team Estrella. Il combat avec son Wild Mane Leone et sa force n’a rien à envier à celle de ses camarades. Toutefois, il se laisse très vite emporter par ses sentiments et se laisse trop souvent piéger. Il souffre beaucoup de ne pas toujours parvenir à se maîtriser, ce qui le rend parfois plutôt solitaire.

Scénario :

    Nous sommes dans une dimension parallèle où se déroulent les aventures de la saga Beyblade Metal. Lors d’un championnat, Jin et Sho s’affronte pour savoir qui sera le meilleur Wheeleur du monde. Qui de Pegasus ou de Drago l’emportera ?

    Un groupe mystérieux nommé les Dominators apparaît et menace de prendre le contrôle du monde du Beywheelz. Un tournoi est organisé pour décider une fois pour toute qui sera à la tête du beywheelz : les Estrella ou les Dominators. Mais ces premiers ne sont pas assez nombreux pour participer. Parviendront-ils à trouver des alliés à temps et à sauver le Beywheelz ?

    La trame peut paraître assez classique pour qui connaît un minimum la saga Beyblade, toutefois ne vous y trompez pas. L’univers est semi-futuriste et passe assez vite les longs discours sur “l’esprit du beywheelz” pour s’intéresser à des notions de liberté. Le scénario nous surprend de temps à autre, ou tout du moins bien plus que ce qu’on pouvait attendre d’un dérivé de la saga principale de l’époque : Beyblade Metal. Les personnages sont attachants et bien moins extrêmes que ceux de la saga d’origine malgré l’utilisation d'archétypes de la saga. D’excellents points pour ce shonen méconnu.

Graphisme :

    Nous sommes en 2012. La qualité globale est assez bonne, surtout au vu du titre et de ses retombées. Le charadesign est très classique des shonen avec un public masculin jeune, rappelant sans conteste Beyblade Metal Fusion, mais tirant assez souvent les traits des personnages comme le faisait la saga Yu-Gi-Oh, rendant le titre plus mature et sérieux. Les modélisations 3D sont impeccables et très bien incrustées. Les combats sont excellents quoique parfois légèrement répétitifs, mais toujours extrêmement appréciables. Globalement, la qualité ne baisse pas trop hors des scènes importantes et les trames de fond sont toujours assez qualitatives, même si elles sont assez peu nombreuses.

    L’opening français tient la route, ce qui est assez rare pour être souligné, surtout sur cette saga.

Point noir :

    Beywheelz n’a jamais eu le rayonnement qu’il méritait et c’est donc assez compliqué d’en trouver une version vraiment propre.

    La conclusion est très ouverte.

    BeyWarriors : BeyRaiderz est encore plus dur à trouver que Beywheelz.

Conclusion :

    J’ai beaucoup apprécié Beywheelz. C’est un excellent shonen bien plus mature dans sa construction que la trame principale de la saga Beyblade. Un titre surprenant bien trop méconnu que je conseille fortement aux fans de la saga Beyblade et aux curieux.

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Date de dernière mise à jour : 09/01/2024

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